Yoga à la maison – A cette époque, en 2016, n’ayant ni le temps – le travail et les occupations domestiques prenant la majeure partie de la journée, maintenant je suis mieux organisée-, ni le budget à consacrer à des cours de yoga réguliers et en continu, j’avais « choisi » l’auto-apprentissage.
Yoga chez soi – les points positifs
De ces lacunes de temps et d’argent, j’ai tiré des points positifs de la pratique du yoga à domicile et de l’auto-apprentissage :
– un emploi du temps flexible, je choisis à quel moment de la journée je pratique,
– un apprentissage à mon rythme surtout sur le plan des postures, je peux m’attarder sur une en particulier,
– l’apprentissage de la rigueur, eh oui pour avancer même si c’est petit pas à petit pas,
– un investissement personnel poussé.
Internet – une révolution
A l’heure d’internet et des réseaux sociaux, je ne vous apprends rien si je dis qu’il est assez facile d’apprendre en autodidacte. S’informer devient presque un jeu d’enfant car la curiosité est grande. On aime fouiner. L’on adore rechercher. On s’extasie à découvrir. Le plus important étant de trouver les informations adéquates et faciles à comprendre. Egalement de trouver la ou les professeurs de yoga bien aguerris et surtout pédagogues qui partagent leur savoir et leurs expériences sur la toile, et pour qui vous sentirez de l’affinité. De l’affinité, oui ! Je pense qu’il est important d’être à l’aise « en face » d’une personne et de sentir qu’elle a une sincère volonté de transmettre quand elle s’adresse à vous à travers son support de communication, ça peut être une vidéo, un blog ou encore un livre. Personnellement, je suivais trois profs de yoga en particulier (et que je continue à suivre à cet instant), je vous en parlerai dans un prochain article.
J’étais trop enthousiaste, pensez-vous ?
Et bien, figurez-vous que vous n’avez pas tout faux ! Car hou la la, il en a fallu du temps et de la patience pour trouver ce qui me convenait. Des pages et des pages de recherche… et des vidéos et des vidéos visionnées… Mais il ne faut pas se décourager !
Et puis, maintenant que vous me suivez dans mon aventure, et si plus tard, vous vous décidez à vous mettre au yoga, je vous aurai un peu indiqué la voie, n’est-ce pas ? Hi hi Ou si ce n’est la voie, une voie…
Yoga à la maison – Les lacunes
Le point faible dans l’auto-apprentissage que j’avais ressenti à cette époque se situait sans aucun doute au niveau émotionnel et mental. Le réel contact humain était absent.
Un professeur en tant que guide reste quelques fois indispensable, il n’y a rien à redire là-dessus. Surtout lorsque l’on a des doutes et que l’on n’a personne à qui s’adresser directement, à un moment précis. Il peut nous rassurer, nous corriger et nous encourager. Ceci est surtout valable quand on acquiert une séquence de yoga et qu’on pratique vraiment seul, sans support.
Bien évidemment, quand on a des doutes, cela peut se corriger en effectuant des recherches sur la question ciblée mais l’échange personnel direct est toujours mieux.
Heureusement, dans les tutos, des trois profs de yoga (que j’ai choisis en tout cas et il y en a certainement d’autres) – et je reviens au terme de « pédagogues » que j’ai cité plus haut-, je retrouve toujours des petits mots rassurants et encourageants tout au long d’une séance, pour ne pas rester sur le bord de la route.
Le chemin est long mais c’est en cela qu’il est intéressant. Et puis comme dit le proverbe : « à coeur vaillant, rien d’impossible », n’est-ce pas ? 🙂
Namasté
*Cet article avait été édité une première fois en juin 2017 sur mon blog Alina – Textes et récits. Sur le chemin des mots.